Capteurs de rêve : un spectacle gratuit pour le 150e du Canada

Le dimanche 2 juillet à 19 h,  Le Carré 150 aura l’honneur de recevoir la Jeune Compagnie TD du Centre des arts de la Confédération (Charlottetown, Ile-du-Prince-Edouard). Celle-ci présentera la comédie musicale bilingue «Capteurs de rêves», un projet présenté dans le cadre des célébrations de Canada 150, qui entraînera le public dans une quête en vue de trouver de l'espoir dans l'avenir.

Ce spectacle familial est gratuit et ouvert à tous : le grand public pourra réserver des places à compter du mardi 13 juin auprès de la billetterie du Carré 150 (819 752-9912 | www.lecarre150.com). Un maximum de 550 places peuvent être comblées, alors il est important de réserver tôt!

Une comédie musicale qui invite à rêver

Prenez un soupçon de hip hop, de création orale et de folk. Ajoutez-y de la danse contemporaine et de la danse autochtone. Choisissez certains des meilleurs jeunes artistes de la scène les plus diversifiés qui soient et vous aurez l’essence de « Capteurs de rêves ». Ce spectacle de musique et de danse vivant explore les rêves des jeunes Canadiens par le biais de la réconciliation, de l'inclusion et de l'environnement. Le spectacle comprend de la toute nouvelle musique, de toutes nouvelles danses et de toutes nouvelles histoires de City Natives, Emm Gryner, Kinnie Starr, Paper Lions, Khodi Dill, Fred Penner, Nikki Payne, Carmen Braden, Tiny Emperor, Daniel Maté, Riley Simpson-Fowler, Laakkuluk William-son Bathory, Caroline Savoie et Twin Flames. Quand le rideau tombera sur le « Capteur de rêves », le public sera rempli de possibilités.

Capteurs de rêves est un projet signature de Canada 150 financé par le Gouvernement du Canada et produit par le Centre des arts de la Confédération. Il met en vedette la Jeune compagnie TD du Centre de la Confédération. Le spectacle a été écrit par Mary Francis Moore, Ahdri Zhina Mandiela en signe la mise en scène, Barbara Kaneratonni Diabo en signe la chorégraphie et Scott Christian en est le directeur musical.

Source : La Nouvelle Union